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Lors des réunions du G20 à New Delhi, les États-Unis et l'Inde ont annoncé la création d'une nouvelle route commerciale qui relierait l'Inde à l'Europe. 

Elle passerait par les Émirats arabes unis, le Royaume d'Arabie saoudite, Israël, puis la Grèce. 

Cette route contrarierait deux acteurs, la Turquie et la Chine

La Chine développe rapidement sa BRI

Une grande partie de la BRI passe également par la Turquie.

La Chine a investi massivement dans l'expansion et la modernisation des infrastructures et des transports en Turquie. 

Or, le nouvel itinéraire de l'IMEC non seulement contourne la Turquie, mais rend également l'initiative de la Chine en matière de développement durable sans objet.

Il est donc clair qu'ils ne voulaient pas que l'IMEC voie le jour. 

L'IMEC rendrait également le port iranien de Chhabahar moins pertinent pour l'Inde.

Il a été supposé que la Turquie avait planifié le complot de l'attaque et que la Chine avait financé le Hamas par l'intermédiaire de l'Iran.

Le Hezbollah et le Hamas sont tous deux des mandataires de l'Iran. 

Le Hamas est connu pour utiliser des missiles et d'autres armes iraniennes.

On suppose que le Hamas et le Hezbollah ont reçu de l'Iran de nouvelles armes et munitions dans des navires chinois, ce qui a permis à Gaza d'échapper aux scanners de sécurité israéliens dotés d'un système d'IA.

Le Royaume d'Arabie saoudite a également accusé la soi-disant provocation israélienne d'être à l'origine de l'attaque terroriste du Hamas.

La tension entre la Chine et Israël n'est pas nouvelle non plus.

Avec l'attaque soudaine à grande échelle et l'invasion terrestre du Hamas contre Israël, le projet IMEC est en grande partie tombé à l'eau pour l'instant.

Son échec est déjà célébré par les médias du gouvernement chinois.